Les disques qu’emporteraient sur leur île déserte Matthieu et Vince, respectivement bassiste et clavier de Zenzile, tous deux missionnés par leurs complices pour faire ce repérage. Un choix ouvert qui ressemble bien à l’esprit du groupe.
Matthieu :
Lee Perry « Arkology »
Parce que les productions de l’ »upsetter » sont les plus mystiques, le son du Black Ark studio est unique. Cette musique dépasse la simple appellation « reggae ».
The Clash « London Calling »
Il symbolise à lui tout seul la fin des seventies et les synthétise en même temps. Rock, reggae, ska, pop… C’est le manifeste d’un groupe sans complexe qui représente une forme de « sono mondiale ».
Depeche Mode « Violator »
L’association des mélodies de Martin Gore et de la voix de Dave Gahan a prouvé que la musique électronique pouvait être hautement émotionnelle.
Magazine « Real life »
Il n’a pas quitté ma platine depuis 3 mois : oui, il y a une vie après les Buzzcocks ! Compositions parfaites et textes énormes.
Tikiman & Rythm& Sound « Showcase »
Parce qu’il faut une musique pour les soirs tranquilles. Celle-ci te berce et te « défonce » littéralement.
Vince :
The Beatles « White Album »
Ma première passion en musique, qui m’étonne encore aujourd’hui. Un album qui va dans tous les sens.
Miles Davis « In a silent way »
Une pièce qui est a la base de plein de genres musicaux. Un disque en suspension dans l’espace.
AC\DC « Powerage »
Fela kuti, ça fait danser, James Brown, ça fait danser, AC\DC aussi !
Serge Gainsbourg « Histoire de Melody Nelson »
Grande science de la production, de la musique, de la chanson. Gainsbourg au sommet de son art.
Ali Farka Touré « Niafunke »
Un grand voyage au pays des rêves, en passant par le grand fleuve Niger, aux sources de la musique et frappant en plein coeur.
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